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Deuxième chance au crédit et taux d’intérêt élevé : Quel impact sur votre assurance automobile ?
Tout un chacun passe par une phase de vide due à l’endettement, la perte d’emploi, le burn out ou autres et qui épuise l’individu au niveau moral et financier. Mais parfois malgré une situation financière difficile, on se trouve obligé d’acquérir un véhicule. Il faut dire que l’obtention d’un crédit auto alors qu’on est criblé de dettes, n’est pas évident, sauf qu’il existe toujours des solutions. En effet il est possible de bénéficier d’un financement de deuxième, voire de troisième chance. Une tentation à laquelle on ne peut pas résister même si les taux d’intérêt sont particulièrement élevés.
Néanmoins, passer par un créancier sous-standard n’est pas sans dommage, car il peut affecter l’assurance automobile. Les assureurs peuvent imposer dans ce cas des primes particulièrement exorbitantes et certains peuvent refuser catégoriquement d’assurer le véhicule.
Deuxième chance mais sans assurance auto
Avoir besoin d’un véhicule est normal mais parfois les contraintes financières ne permettent pas d’effectuer un tel achat. C’est la raison pour laquelle plusieurs personnes ont recours au financement de deuxième chance. Mais avant de se mettre derrière le volant il serait judicieux de consulter l’assureur. Ce n’est pas une simple formalité car en lui fournissant les coordonnées du créancier il est fort probable qu’il refuse d’assurer le véhicule en raison du crédit automobile contracté à un taux exorbitant. En effet si le taux dépasse les 10%, il est possible que ce soit une raison suffisante pour le rejet d’assurance par les assureurs du marché régulier.
Cette contrainte peut être dépassée en appelant son courtier d’assurance spécialisé en automobile Assur360 acquise à un taux élevé, grâce à la contribution d’un créancier de deuxième ou de troisième chance. Le but est de décrocher une couverture optimale au meilleur tarif possible.
La raison du refus de la couverture auto
Les assureurs sont très méfiants, il faut bien le dire. Généralement le calcul de l’assurance dommage est basé sur certains éléments comme l’âge, le sexe, les antécédents en termes de sinistres, et évidemment la cote de crédit des assurés.
Les conducteurs ayant une cote de crédit inférieure à la moyenne sont les plus susceptibles de faire une réclamation, plus encore que les individus ayant une cote de crédit plus élevée. Et c’est ce qui justifie le refus de certains cas. En effet en recourant au financement de deuxième ou troisième chance c’est surtout pour améliorer sa cote de crédit. Et dans ce cas de figure, les assureurs se montrent frileux à proposer une protection auto. Certain assureur tel Pafco offre des solutions intéressantes.
Les créanciers qui proposent ces offres alléchantes appliquent des taux d’intérêt exorbitants ce qui peut peser trop sur le budget de l’automobiliste et d’un autre côté, ce dernier peut être confronté à un refus au niveau des compagnies d’assurance. Le mieux à faire est de solliciter un assureur spécialisé dans l’assurance automobile sous-standard avant même de procéder à l’acquisition du véhicule. C’est la meilleure option pour éviter de se trouver surendetté et non couvert par une protection auto adéquate.
Les causes de l’augmentation des primes d’assurance auto
Selon Jean Boissonneault de Assur360 la légalisation de la marijuana aura sans doute un impact faible sur les primes d’assurance au Québec. Est-ce que les nouvelles technologies vont faire augmenter ou baisser les primes d’assurance auto ? Et quand es-t-il des voitures autonomes, ils sont sans doute plus sécuritaire mes les coûts de réparation vont être énorme lors d’un sinistre.
Les plus grands impacts à surveiller dans les prochaines années sont:
- Dossier de crédit
- Les prêts à taux élevé
- La technologie des véhicules
- Les voitures autonome
- Le pot